mercredi 25 juillet 2018

Jour 21 - De la bouffe pas chère !

L'une des erreurs que nous avons commise au début de notre voyage, c'est d'avoir fait trop de restaurants. Forcément, les finances en ont pris un coup. Pour notre défense, il est difficile de faire le plein de courses quand on bouge tous les trois jours. (Oui, je sais, c'est une excuse à deux balles.) Et puis, il fallait bien réhabituer le beau-frère à au moins trois repas par jour, puisqu'il ne s'en contentait que d'un seul depuis son arrivée.

Maintenant que notre budget est limité à cause de mon souci de retrait, il faut trouver des solutions en dehors des éternels sandwichs. Heureusement, Wellington ne manque pas de food trucks. Lors d'une promenade en ville pour ce dernier jour sur place, nous avons d'ailleurs trouvé un endroit assez magique. Une immense salle remplie de restaurants proposant des plats à emporter et à petits prix. Une aubaine !


L'endroit est vivant et assez chaleureux. Bizarrement, on n'a pas trop l'impression d'étouffer. C'est clairement dans ce genre d'endroit où il faut manger quand on ne travaille pas loin. Il y a tellement de restaurateurs que l'on peut tester la cuisine du monde sans se lasser.

Après avoir rempli nos bidous respectifs, direction le jardin botanique. Sur la route, nous tombons sur un immense cube. Quatre de ses faces sont recouvertes du même début de phrase qu'il faut compléter. Que voudriez-vous faire avant de mourir ? Je suis le seul à répondre de nous trois. J'inscris mon envie de faire rêver les gens en écrivant des livres. Ça fait des années que cette idée me travaille. J'ai justement un premier jet d'histoire terminé depuis pas mal de mois. Hélas, j'ai un blocage. (Il faut que je me bouge le cul.)


Pour arriver au jardin, nous prenons le funiculaire, qui est une montée mécanique réalisée grâce à des véhicules montés sur rails. Rien de très transcendant pour être honnête, mais la vue à l'arrivée reste sympathique.


Quoi qu'il en soit, le jardin vaut le détour, et ce, même en hiver. Comme au Canada, la Nouvelle-Zélande est parvenue à trouver un équilibre entre les constructions humaines et la protection de son environnement. On devrait en prendre de la graine.


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