samedi 21 juillet 2018

Jour 17 - Coucou Wellington !

Nous sommes à la dernière étape de notre voyage : Wellington. C'est la capitale officielle de la Nouvelle-Zélande, tandis qu'Auckland peut être considérée comme la capitale économique de la ville.

Je ne suis pas mécontent de quitter enfin l'auberge de Napier et d'arriver à bon port après cinq heures de bus. Notre location se trouve un peu en retrait du centre-ville dans le quartier de Brooklyn.


La responsable des lieux nous accueille avec un grand sourire et un adorable gros toutou, qui nous fait plein de papouilles. Notre ultime pied-à-terre se trouve dans le sous-sol de sa maison. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, il y a des fenêtres. L'endroit ressemble comme deux gouttes d'eau à un studio. Mais quel studio ! Le lieu est accueillant et réconfortant. Une merveille, qui change de notre dernière auberge.

Monsieur Dino est content !

Après avoir posé nos affaires, nous allons manger un burger dans le coin, puis nous revenons glander. Le bus nous a cassé, et on a juste besoin de se poser. 

Lorsque le début de soirée arrive, on se contente de se restaurer dans un petit restaurant autrichien. J'ai pu ainsi goûter pour la première fois un apfelstrudel, un dessert typique du pays. Succulent, mais beaucoup moins que la note, qui me fait encore mal au cul.

Au passage, depuis peu, je suis devenu la tirelire du groupe. Camille n'a presque plus d'argent. Quant à Léopold, c'est encore pire. 

D'ailleurs, j'ai oublié de vous parler de la grande nouvelle. Celle qui va changer vos vies. Le beau-frère revient en France ! Suite à un mauvais calcul, il s'est rendu compte qu'il n'aurait plus assez d'argent s'il restait encore quelques temps en Nouvelle-Zélande pour trouver un boulot. Du coup, il a dû se commander un billet de retour sur Dunkerque. 

Je suis content que ce grand dadais revienne parmi nous. Il sera même de retour avant nous en France. (Un comble.) Dommage qu'il n'ait juste pas pu déployer son potentiel pour trouver un travail. En même temps, pour sa défense, il est arrivé à la fin de l'été. Ce n'est pas la meilleure période pour dénicher un taff dans le tourisme, et encore moins en hiver. Au final, il prend les choses du bon côté (comme souvent).

En attendant, sans trop m'avancer, je pense qu'il fait plus de choses depuis que nous sommes là que depuis son arrivée en février. Comment ? Oui, je le taquine. Ne vous inquiétez pas, il aime ça, le coquinou !

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